• Après plusieurs heures de marches, nous vîmes au loin, plusieurs ombres. Elles se rapprochaient de nous à vue d'œil. Je pu distinguer des hommes en armures sur des montures, je lança à Freidrich qu'il ne fallait pas rester ici, mais les soldats se rapprochaient, et seraient sur nous incéssament . Ils appartenaient au royaumes de Larbos, surment venus pour intercepter des trafiquants de Monslaves, avec qui ils nous avaient surement confondus. Les cavaliers cataphractaires abaissèrent leurs lances en notre direction. Quand je vis mon compagnon de route sortir un petit objet métallique de sa veste, le pointa en direction des cavaliers, quand de nombreuses détonations retentirent. Je fus d'abord effrayé mais elle cessèrent vite. Les cavaliers lourds étaient tombés. Je ne compris pas. Mais aussitôt l'infentrie et les arbalétriers se mettèrent a nous attaquer. Je revois encore Freidrich détacher ce bâton avec une boîte métalique au bout, saisir ses précieux barils... me regarder... je sentais qu'à ce moment là quelque chose de grâve allait arriver... il me regarda, les soldats se rapprochèrent, il détacha l'anneau à l'autre bout du bâton, les arbalétriers nous mettaient en joue, il me lança en souriant "Auf wiedersehen..." et se mit à courrir en direction des larbosiens, je tenta de le rejoindre quand soudain une puissante explosion me projeta sur le sol. Gisant, réalisant ce que cet inconnu venait de faire pour moi, je versa une larme, dix ans après la dernière fois que je fus meutri...Je m'évanouis.


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  • Une tornade enflammée jaillit des cieux, pulvérisant le seigneur Menthos, la tornade se rapprochant de moi je fuyais, jusqu'à que l'immense masse m'atteigne et me jeta au sol. A mon grand entonnement je n'étais pas blessé ; une voix s'échappe du tourbillon de feu et une ombre apparaît. Le spectre sortant, m’annonce être mon libérateur, et il me demande si je voulais la puissance divine, la vie éternelle, une richesse démentielle et le respect extrême. Tout ce que je recherchais à l'époque, c'est en une façon pardonnable en raison de ce que j'ai subi, d'accepter ce que le spectre me proposait.

    Je réussis à m'échapper, je voyais au loin les reste du seigneur Menthos carbonisés jusqu'aux os, mais ce qui me surpris, c'est la forte odeur qui s’échappait du cadavre, je m'approche alors quand je vi un soldat avec des manteaux et de l'or débordant de ses poches, je l'entendais parler tout seul. En m'approchant je m’aperçus qu'il ne s’agissait pas d'un soldat mais d'un vagabond habillé en noir, une sorte de veste en cuir avec un haut col, il avait une mèche qui recouvrait un tier de son visage. Cela lui donnait une certaine classe. Il recouvrait des chasseurs de Monslave, morts avec des impacts au niveau de la tête, d'un liquide odorant, puis il sortit une brindille rouge de sa poche, l'alluma, et enflamma les corps, d'où une géante flamme surgit. Je fus impressionné par cet exploit, mais aussi inquiété...

     

    Il avait effectivement des barils de la substance inflamable. Je n'avais jamais vu un tel homme... Il me repère. Je tente de me dissimuler mais il s'approche de moi à grand pas avec ses grandes bottes dures. Il me regarde et commença à me parler.

     

    -J'ai besoin d'aide, si les loups nous voient, nous sommes fichu !Nous devons les brûler pour que l'odeur du sang ne se répande pas !

    -Des loups ? Qu'est ce que sont des loups ?

    -Arrêtez de vous moquer de moi ! D'où venez vous ? Pourquoi vous cachiez vous ?

    Je l'interrompis, Écoutez, vous n'allez pas bien... Avez vous bu ?

    -Ach...Quelque peu il est vrai, je me suis endormis sur une sorte de clef, après l'avoir trouver dans les marécages...

    -Mais bon sang... d'où venez vous... qui êtes vous ?Quelle est cette mascarade ?

    J'étais sur qu'il s'agissait d'un fou... Je le pris par sa veste et le souleva, je me rendis compte qu'il était assez grand. Je lui dit :

    -ALLEZ VOUS ARRÊTEZ DE VOUS FOUTRE DE MOI ?

    Un brassard rouge et noir tomba de sa poche. Je ne sus jamais de quoi il s'agissait...

    -Je suis le kommandant Freidrich Lindemann...

    Il ramassa le brassard et le regarda

    -Mais cela est fini !

    Il jeta le morceau de tissu au fond d'un gouffre enneigé.

     

    Je craignais le pire à propos de cet homme, qui ne semblait pas intrigué par mon apparence peu humaine, mais lui, me regarda et me lança « Vous m'avez l'air fort sympathique ». A son air peu commun, comme si il avait changer pendant notre discussion... Voilà à peine quelques minutes que je connaissais cet homme et pourtant il me semblait qu'il avait enduré bien plus pire que moi en dix ans...


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  • Cela fit presque deux ans que je venais d'être acheté pas un seigneur. Ce dernier, prétend qu'il a été  bon avec moi de m'acheter à ce marchand de Monslave car sinon, j'aurais été servis en guise d'en-cas aux autres montres. À ce moment là, j'avoue que j'aurai préféré être mort plutôt de vivre ce que j'ai subit. S'il y a un mot à retenir de cela, c'est Monslave. Ce mot voulais dire que jétais le mélange d'un serviteur et d'une bête de foire. Formidable n'est ce pas? Je n'avais plus honte de quoi que ce soit,  pas même des séances de torture, ou d'entrainement que mon assassin de maître me faisait endurer, des heures, des jours, dans le seul et unique but de faire monter ma rage en moi. Et ce jour là, il avait réussi. Alors que je me faisais fouetter, comme à mon habitude, il me dit:

    -Tu n'as plus de passé pas d'avenir, seul compte le présent...

    Je me souvins , de mon ancienne vie, de ce que je suis, QUI je suis. Je me souvins de Jaguarys, me cité natale d'ont je devais hériter de mon...père...Le katseye lié à moi. Je tâta ma poitrine dans l'espoir de le trouver. Aucune trace. Je réalisa ce qu'on m'avait fait subir, ce que l'on m'avait enlever... Et c'est à ce moment là que ma rage explosa; je m'élança vers mon maître, et, ce qui se produit, je ne pus jamais le concevoir...


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  • Les premiers souvenirs débutant cette tourmente qui me reviennent sont celle d'une cellule, en pavés taliiés; assez petite, où gisait sur le sol  un récipient en métal, remplit d'une matière que je saurais qualifier d'eau, tellement l'odeur qui s'en dégageai était nauséabonde. On m'avait dérobé mes vêtements. J'étais ainsi, seul, nu dans une cage avec une odeur putride. Le plus dur à été de supporter ces hurlements, peut être pas des cris de douleur, mais cela me terrorisait. Le jour précèdant je venais de fêter mes dix ans. Je comprenais qu'il fallait m'échapper. J'examina donc ces barreaux d'acier, je ne ntrouva rien de probant. Je fus stoppé dans ma tentative d'évasion par un grand bruit de portes frappants contre un mur, suivit par des voix ettoufées se rapprochant de moi, puis un grand silence survint. J'arréta mon exploration...sans bouger j'attendis...je ne sais pas ce qui m'a trahit, les voix s'approchèrent de plus en plus...je courra vers le fond de la cellule et je me recroquevilla sur moi même. Au même moment, un homme de forte taille, s'arréta devant moi, il m'épia, quand arriva un autre homme d'une laideur d'une laideur indescriptible. Ils se mirent à débattre vivement mais je ne pourrai répéter les mots qu'ils ont proférés tellement j'étais dépassé par la situation. Je grellotais. De froid ou de peur, je ne sais pas. Peut être les deux. Je tomba en sanglot quand je vis l'homme laid recevoir un sac remplit d'argent  et ouvrir la cage, je fus saisis brutalement par le grand homme, qui me traina dans ces longs couloirs à peine éclairés, avec des yeux brillant me fixant d'autres cellules. En si peu de temps je perdis toute notion de temps et de pudeur même si je ne supportais pas d'être nu face à ces monstre difformes.


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  • Voici ce que je peux en dire. Les évènements qui vont vous êtres contés ici me sont arrivés, j'avouerais mes erreures, mes fautes, mes regrets.

    Ce souvenir cruel me trouble quelque fois et me bouleverse au point de voir dans mes insomenies, cette chose venir me reprocher mon crime, comme si je ne l'eut commis qu'hier. Avant que je la rencontre, je vécu tranquille. Mais au milieu de cette vie orageuse, sans la moindre occupation, je devais sortir des trépas de l'ennui. Ce poids m'est alors resté jusqu'à ce jour sur ma conscience; ce jour où ma vie changea. C'est sur les évènements qui me sont survenus que je décide d'écrire mes confessions.


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